En raison d'un nombre important de personnage de conte, 10 points seront attribués aux humains validés.
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| PHOENIX ♦ c'est l'histoire d'un homme qui renaît de ses cendres... | |
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Phoenix Peters
Messages : 405 Arrivée : 18/09/2013 Points : 865 Avatar : Kwon Ji Yong Crédits : Mystique et okinnel Picture : Hakuna MatataDisponibilité: Overbooké | Sujet: PHOENIX ♦ c'est l'histoire d'un homme qui renaît de ses cendres... Sam 21 Fév - 16:13 | |
| Phoenix Peters
« Les véritables héros sont ceux qui meurent pour des causes auxquelles ils ne croient pas. »
Âge: 26 ans Métier: Ecrivain Date et lieu de naissance: le 12 Décembre à Eugene (Oregon) Nationalité: Américain Orientation sexuelle: Bisexuel Statut: Célibataire Avatar: Kwon Ji Yong.
je suis optimiste à 50% je suis pessimiste à 50% je suis généreux(se) à 50% je suis égoïste à 50% je suis courageux(se) à 85% je suis peureux(se) à 15% je suis ordonné(e) à 70% je suis fêtard(e) à 40% je suis bordélique à 20% je suis calme à 60% je suis intelligent(e) à 80% je suis naif(ve)à 05% |
je suis confiant(e) à 100% je suis timide à 50% je suis franc à 70% je suis menteur(se) à 70% je suis rêveur(se) à 90% je suis prétentieux(se) à 30% je suis drôle à 25% je suis bavard(e) à 40% je suis jaloux(se) à 00% je suis têtu(e) à 100% je suis posé(e)à 00% je suis travailleur(se) à 99% |
Phoenix n’est pas quelqu’un vers qui on a envie d’aller facilement. Il ne sait pas agir en société normalement, ou en tout cas, s’il le sait, il n’a pas l’air de vouloir faire d’effort pour être « normal ». A cause de son passé assez difficile, il a du mal à accepter que les gens fassent parti de sa vie. Ne faisant confiance à personne, il se méfie de tout individu qui lui adresse la parole. Sarcasme, mauvaise foi, il se braque dès qu’on ose lui parler de lui. Alors, Phoenix n’a pas beaucoup d’ami. Il met beaucoup de temps avant de s’assurer qu’une personne ne lui veut pas du mal. On pourrait croire qu’il serait plutôt optimiste envers les autres vu ces études. En psychologie, on apprend que tout être humain n’est ni bon ni mauvais. Phoenix a eu du mal avec cette notion et s’en est fait une propre règle. Pour lui, si tout le monde est ni bon ni mauvais, ça veut dire que l’être est imprévisible, et donc, peut lui vouloir du mal. Il ne veut plus être une victime. Et si ça veut dire pour cela, rester seul éternellement, il le fera. Même si au fond de lui, il sait qu’il a besoin des autres pour évoluer et grandir. Ca se fait progressivement, il ne faut pas le brusquer. Il arrivera un jour à faire confiance aux autres. Courageux et aventureux, Phoenix n’hésite pas une seule seconde à partir à l’aventure. Enfin, presque. Il est quelqu’un de très réfléchis et pas du tout impulsif. Il analyse tout ce qu’il peut se passer et met un temps fou avant de choisir entre le plan a et le plan b. Peut être qu’il a trop les pieds sur terre et qu’il faut l’aider un peu à sortir de sa routine. Alors, bon courage à la personne qui sera prête à le sortir de ses bouquins et de sa méfiance. Parce que Phoenix est quelqu’un de buté. Vu comme ça, on pourrait croire que ce n’est pas un garçon gentil ou attentionné. Mais il l’est. Lorsqu’il est attaché à quelqu’un, il protège cette personne coute que coute. Il faut voir avec sa famille comment il se comporte. Il leur a caché pendant des années ses maux, tout ça pour les protéger de la réalité. Si tu étais un Disney/conte ? Hercule Si tu étais un personnage féminin ? Flora de la Belle aux Bois Dormants Si tu étais un personnage masculin ? Pen et Panique Si tu étais un méchant ? Hadès Si tu étais un pouvoir magique d'un héros ce serait quoi ? Les pouvoirs de Merlin. Notamment sa capacité à se métamorphoser à volonté. Si tu étais un endroit du monde des Disney ? l’Olympe
Pourquoi avoir décidé de faire cette croisière ? J'ai besoin de changement. J'ai enfin terminé mes études de psychologie et j'ai envie de m'amuser un peu et de m'aérer l'esprit. De plus, j'ai promis à mon éditeur de terminé la suite de ma série de livres. Il faut absolument que je boucle tout ça dans un délais très court, et quoi de mieux qu'une croisière pour écrire ? Je vais connaître de nouvelles personnalités, m'inspirer de lieux qui m'étaient encore inconnus. Je vais exploiter tout ce que je vois et tout ce que j'entends pour faire l'aventure de Zoey (le nom de son héroïne), quelque chose d'unique. Êtes vous accompagné pour la faire ou êtes vous seul ? Je n'ai jamais été adepte des vacances en famille. J'aime mes proches, mais je préfère m'éloigner un peu d'eux de temps en temps. J'ai demandé à personne de m'accompagner, et c'est mieux ainsi. Je crois. Croyez vous aux contes de fées ? J'aime beaucoup les contes. J'en ai lu énormément quand j'étais plus jeune. Ca me permettait de m'évader de temps en temps et d'oublier les bleus que j'avais aux bras. J'ai toujours souhaité que tout cela existe. Que les auteurs n'inventaient pas toutes ses histoires, mais étaient inspirés par des fait réel. Mais je me suis rendu compte en écrivant ma propre histoire, que les contes de fées sont uniquement des contes. Pas la réalité. Comment allez vous réagir en découvrant ou vous êtes ? Dans un premier temps, je vais probablement hurler, insulter tout le monde et me pincer pour me réveiller. Après ça, je suis certain que je vais rapidement m’adapter. C’est une chance unique de se retrouver ici. Surtout pour un écrivain à la recherche d’aventure et d’inspiration. Préférez vous être ici ou dans votre monde ? Ici. La vie ne semble pas être plus facile, mais elle a l’air plus paisible. Les gens ont une mentalité qui me plait bien. Soit tout est noir, soit tout est blanc. Ils pensent un peu comme moi, je dois l’avouer. Même si ils sont un peu trop naïf à mon goût.
Pseudo : Mystique Age : 20 ans Où as tu découvert le forum ? par Lucky Comment le trouves tu ? Des critiques ? / Autre chose ?
Dernière édition par Phoenix Peters le Jeu 5 Mar - 15:22, édité 3 fois |
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Phoenix Peters
Messages : 405 Arrivée : 18/09/2013 Points : 865 Avatar : Kwon Ji Yong Crédits : Mystique et okinnel Picture : Hakuna MatataDisponibilité: Overbooké | Sujet: Re: PHOENIX ♦ c'est l'histoire d'un homme qui renaît de ses cendres... Sam 21 Fév - 16:13 | |
| Eugene est l’une des plus grandes villes de l’Etat de l’Oregon. Si la population est aussi dense c’est bel et bien pour son université qui est la seule à des kilomètres à la ronde. C’est dans cette université que se sont rencontrés les parents de Phoenix et Europe. Leur père était un étudiant en droit et jonglait entre ses cours, les procès et le club de journalisme. Sa femme, quand à elle, étudiait le journalisme et elle était la présidente du club de journalisme où elle a rencontré son futur mari. Tout à donc commencé dans cette petite grande ville, si on peut l’appeler ainsi. Phoenix est né trois ans et demi après que ses parents se soient mis ensemble. Ils voulaient terminer leurs études avant de fonder une famille. Ils ont alors eu Phoenix peut de temps après que Monsieur Peters eu un job au bureau du procureur.
Après la naissance de Phoenix, leur vie entière se tourna vers leur premier enfant. S’ils allaient travailler dure, ils le faisaient dans l’unique but d’offrir les meilleures choses à leur fils chéri. Cependant, Madame Peters décida de continuer à travailler à la maison lorsque le jeune garçon eut trois ans. Elle s’était rendu compte qu’elle avait tout raté. Ses premières dents, son premier bobo et même ses premiers pas. Elle ne tolérait pas qu’une nourrice soit témoin de tout cela alors qu’elle ne l’était pas elle-même. Alors, même si Phoenix allait désormais à l’école, c’était elle qui s’occupait de son goûté et qui lui apprenait l’alphabet. Tout allait parfaitement bien dans la vie des Peters. Et lorsque la petite dernière, Europe, arriva, leur vie semblait d’autant plus lumineuse. Phoenix était un petit garçon de cinq ans très heureux d’accueillir une nouvelle personne avec qui jouer.
A cette époque, Phoenix était un garçon très curieux qui touchait à tout et qui aimait apprendre des nouvelles choses. Il était un peu casse cou et ne réfléchissait pas souvent avant de monter sur les meubles pour voir ce qu’il se cachait dans le vase en cristal que sa grand-mère paternelle avait offert à ses parents. Phoenix se faisait souvent punir à cause de son audace et de sa curiosité légendaire, mais cela plaisait à ses parents qui voyaient un avenir brillant chez ce petit bout en train. Phoenix était un grand frère attentionné et un enfant doux. Il faisait souvent des bouquets de fleurs à sa maman. Des fleurs qu’il volait dans le jardin de la voisine, bien entendu. Quand il voyait son père, il ne pouvait pas s’empêcher de courir vers lui et de lui raconter sa journée une fois dans ses bras. Bref, tout semblait allait très bien dans cette jolie petite famille.
Mais les choses ont commencé à se compliquer une fois que Phoenix est rentré au collège. Il avait refusé de partir au collège privé, comme lui avait proposé ses parents. Il était plus intelligent que la normal et il n’était pas à sa place dans sa classe, et pourtant, il refusait de sauter une classe. Il souhaitait rester avec ses copains de primaire. Malheureusement pour lui, ces fameux copains ont retournés leurs vestes lorsqu’ils ont rencontrés un autre groupe de garçon. Phoenix qui n’avait pas une famille conventionnelle fut la cible des brimades des autres enfants. En effet, si sa mère est asiatique, son père est afro américain. Si tout cela n’avait dérangé personne jusqu’alors, ce n’était pas le cas au collège. Et puis, c’était tellement plus facile pour ces garçons de s’en prendre au garçon un peu grassouillet qui a des parents qui ne sont pas de la même couleur. Pendant des années, et ce, jusqu’au milieu du lycée, Phoenix était victime de harcèlement et de violence de la part de ses camarades. Ses parents n’en savait rien, et encore moins sa petite sœur qu’il tentait de protéger du mieux qu’il le pouvait.
Puis, le ras le bol. Phoenix n’avait plus envie d’être une victime. Il se mit alors à écrire anonymement au journal dans lequel sa mère travaillait en tant que rédacteur en chef. Il avait alors seize ans. Il parlait alors de tout ce qu’il subissait à l’école, et ce, sans omettre le moindre détail. Il paraphrasait ses camarades et employés les mêmes mots que ces derniers. Lorsqu’il retournait à l’école, les autres élèves savaient qui se cachait derrière ses bulletins anonymes et s’en prirent d’avantage à lui. Mais au lieu de baisser la tête comme il le faisait depuis tant d’année, il la relevait et souriait bravement, attendant qu’ils aient fini leurs brimades. L’écriture était pour lui une source de soulagement. Il avait l’impression de ne plus être blessé en mettant des mots sur ses peines. Et ainsi, il pouvait d’avantage supporter les moqueries assassines, les menaces et les coups que lui portaient d’autres adolescents.
Ses parents ne s’étaient jamais rendu compte de rien. Pour eux, Phoenix était un adolescent tout à fait ordinaire qui avait des notes excellentes. La seule chose qui les chagrinait un peu, c’était le fait qu’il ne ramenait jamais de copain à la maison. Phoenix donnait toujours des excuses pas souvent bien ficelé, mais ils ne posaient pas de questions, pensant qu’il ne voulait pas être embêté dans son intimité. Phoenix n’avait pas de problème pour eux. Sa sœur, pourtant, entendait les quelques sanglots qu’il lâchait, las de toute cette violence, mais ne disait rien. Elle savait pourquoi il était comme ça, et elle ne pouvait rien faire. Parce qu’elle savait que si elle racontait tout à ses parents, ils allaient s’en prendre à elle. Elle regardait alors de loin, son frère prenant les coups et souffrant en silence.
Un jour, une lettre arrivait. Phoenix avait dormi toute la nuit, souffrant de terrible courbature dans le ventre. Les coups que lui avaient donnés les adolescents étaient de plus en plus violents. Ils ne mesuraient plus leur force et s’amusait à le torturer ainsi. Cette lettre, c’était sa lueur d’espoir. Un espoir de partir loin de ce trou et de prendre son envol. Une lettre de Yale. Sa mère rentrait alors dans sa chambre, sans permission, comme elle le faisait bien trop souvent au goût de Phoenix. Elle avait déjà ouvert la lettre mais elle n’osait pas la lire sans son fils. Après tout, elle était adressé à Phoenix et non pas à elle. « Allez, lis là et dis moi ! » Disait-elle, impatiente de savoir si son fils était pris dans une des plus prestigieuses universités. Grochon, Phoenix eut du mal à ouvrir les yeux et à comprendre ce qu’il se passait. « Tu ne m’avais pas dit que tu avais postulé à Yale. Petit cachotier » Si il ne l’avait pas fait, c’était parce qu’il ne voulait pas blesser ses parents qui souhaitaient le voir rentrer à l’université de la ville, comme eut autrefois. Phoenix se levait alors difficilement et s’asseyait à côté de sa mère. Il lui prenait la lettre des mains et commençait à la lire. Ses yeux parcouraient rapidement les lignes et peu à peu, la fatigue laissa place à un sourire ravi. Il se tournait vers sa mère et la prit dans ses bras. Mais là, c’était trop difficile, il cria de douleur. Se demandant ce qu’il se passait, pourquoi son fils avait l’air de souffrir alors qu’il devait être heureux, Madame Peters s’aperçut d’une chose qu’elle n’avait jamais remarquée auparavant. Des marques sur les bras de son fils. Elle lui demandait alors ce que ces bleus faisaient sur ses bras. Phoenix lui montrait alors tout son corps, montrant chacune des blessures qu’il avait subit durant ses années collèges et lycées et il lui dit alors, avec un sourire aux lèvres. « C’est grâce à tout ça que je peux aller à Yale maman. J’ai écrit, beaucoup écrit, sur tout ce qui se passait dans ma vie. Mes émotions étaient tellement fortes que je devais les écrire. Et un jour, quand j’ai dû faire mes dossiers pour l’université, j’ai décidé d’envoyer tout ça à Yale. Tous mes maux. » Il lui racontait ensuite qu’il envoyait depuis des années des lettres anonymes au journal de la ville et elle se rendit compte que cette histoire qui l’avait tant touché et qu’elle avait elle-même décidé de publier était celle de son fils.
Les années passèrent et les études de psychologie de Phoenix prirent fin. Ces années là, il les avait savourés comme jamais il n’avait aimé la vie. A Yale il pouvait être lui-même. Et même si il s’était forgé une carapace presque impossible à briser, il avait réussi à se faire une place dans cette université. Tout comme ces parents, il était dans le club de journalisme et fut même repéré par le journal local. Mais préférant se focaliser sur ses études et sur le club, il déclina l’invitation. Il passait alors peut être pour un prétentieux qui refusait une place dans un grand journal, mais Phoenix savait ce qu’il voulait et ce qui était bon pour lui. De plus, durant ses cinq années de psychologie et de journalisme, Phoenix prenait le temps d’écrire un livre. Puis, un deuxième et encore un troisième. Il était devenu complètement accro. Et au lieu d’écrire sur sa propre vie, il avait inventé un monde imaginaire en s’inspirant de sa petite sœur qui était l’héroïne de son histoire. Cette jeune femme à la peau mate et aux yeux clairs et bridés était devenue célèbre. Tout comme son écrivain anonyme.
Lorsque ces études furent terminés, Phoenix décidait de retourner dans la ville qui la vue grandir. Il retournait alors chez ses parents et vécu quelques mois avec eux. Sa petite sœur était devenue une belle femme, même magnifique, mais il semblait que quelque chose clochait. Elle souriait, mais lui, il savait que ce sourire était faux. Parce qu’il avait porté le même pendant des années. Il ne disait rien pendant un temps, l’observant discrètement. Mais lorsqu’il vit les coupures profondes sur le ventre de son héroïne, il décidait d’intervenir. Phoenix s’immisça alors dans la vie de sa sœur et il découvrit des souffrances dont il ignorait tout. L’amour et l’intolérance. Il connaissait le deuxième, mais ce n’était pas la même chose avec sa sœur. Il apprenait alors qu’elle était amoureuse d’un jeune blanc riche qui avait des parents républicains et très fermés sur les autres cultures. Lorsque les parents du jeune homme ont apprit qu’il sortait avec une « noire asiatique », ils ont décidés de le déshériter. Chose que le garçon n’a pas accepté. Il a plutôt préféré quitter sa bien aimée que perdre tout son argent. Phoenix et Europe discutèrent une journée entière. Il lui racontait alors ce qu’il avait subit pendant son enfant et il lui montrait les marques qu’il s’était infligé plus jeune lui aussi. Lorsqu’elle s’aperçu que ses marques étaient indélébiles, elle fondit en larmes.
Des mois plus tard, Phoenix décida de partir pour une croisière, sachant qu’il pourrait écrire tranquillement et qu’il serait probablement inspiré par les différents lieux qu’ils allaient visités. Pour cela, il décidait de partir seul. Cela faisait des années qu’il n’avait pas été seul et ça lui faisait du bien. Il s’inquiétait pour sa sœur, mais il savait qu’elle devait se débrouiller seule et affronter ses propres démons, comme il l’avait fait lui aussi. Une fois embarqué sur le Tropical Boat, Phoenix su que cette aventure allait être merveilleuse. Seulement, il ne s’était pas attendue une seule seconde qu’il y aurait des gamins qui crieraient dans les couloirs, ou que les jeunes étaient venus ici pour se choper le plus de nana. Il était bien loin de son oasis calme utopique. Puis, une nuit, alors qu’il s’était endormi sur son journal intime qu’il tenait depuis ses douze ans, il se retrouva sur un autre bateau. Dans un premier temps, il ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Surtout qu’il était censé être seul dans sa cabine. Or, là, il était avec … trop, beaucoup trop de monde. Et ce, dans un endroit très confiné. Que se passait-il ?
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